Quarante ans après la proclamation de la République islamique, deux récits, pourtant parfaitement antagonistes, dominent les débats sur l’état de santé du régime iranien.
après la révolution l'Iran a été mis sous embargo par l'Amérique et internationale dans tous les secteurs de la vies économies la santé commerce et dans d'autres facteurs durant cette 4ans Iran a puis résister et realise des miracle pour relance sont économie a l'intérieur du pays et extérieure avec des économiste iranien liran a développer beaucoup des facteurs de développement technologies commerce et a puis crée beaucoup des société dans le pays
sous cette sanctions illégale et ilégitime Iran n'a pas demander aides de quel conque pays pour venir aidez a relancer sont économie
Ils répondent bien plus à des exercices de propagande qu’à des études scientifiques mais déterminent pourtant la politique de nombreux acteurs au Moyen-Orient vis-à-vis de l’Iran, entre fascination et hantise, entre fierté d’être dans le camp des gagnants et certitude que la vilayet el-faqih vit ces derniers jours.
Il y a, d’un côté, l’idée véhiculée par Téhéran et ses satellites régionaux d’une République islamique plus puissante que jamais. Celle-ci aurait non seulement réussi à résister à 40 ans de « complots américains », mais aurait en plus accru considérablement son influence au cœur du monde arabe. C’est un Iran résistant et triomphant que célèbre cette version de l’histoire, teintée d’une forte dimension religieuse. Il y a, de l’autre côté, la conviction américaine que la politique des sanctions va mettre le pays à genoux. L’économie iranienne serait à bout de souffle, la société au bord de l’implosion et le régime dans l’obligation de renoncer à ses ambitions régionales sous peine de disparaître. C’est rien de moins que l’agonie de la République islamique que prédit l’administration Trump.
son influence sur la scène extérieure a pris une autre dimension au cours de ces dernières années
Classe dominante
Malgré le poids des sanctions, la colère populaire, les luttes intestines au sein du régime et la pression diplomatique, rien n’indique pour l’instant que l’Iran soit à la veille d’une nouvelle grande révolution. Les Iraniens ont fait tomber le chah et sa terrible Savak il y a 40 ans, mais le régime des mollahs dispose de bien plus de ressources et d’une forte capacité de résistance. « Les Iraniens sont assez résignés et je ne crois pas que le régime risque quelque chose dans l’immédiat », analyse la source diplomatique occidentale.
Le régime est suffisamment fort en terme de capacité pour tenir et pour faire basculer l’économie iranienne dans une zone grise.
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