Une femme dit qu'elle a été détenue pendant des jours dans un centre de détention secret géré par des Chinois à Dubaï avec au moins deux Ouïghours.
mardi 17 août 2021
Un détenu dit que la Chine a une prison secrète pour les Ouïghours – à Dubaï
Saudi Aramco envisage de dépenser 20 à 25 milliards de dollars pour une participation dans Reliance: rapport
La firme saoudienne discute de l'achat d'une participation d'environ 20% dans Reliance de Mukesh Ambani.
Séisme.“En Haïti, la vraie catastrophe n’est pas celle que vous croyez”
Le bilan humain du séisme qui a frappé Haïti le 14 août ne cesse de s’alourdir : plus de 1 400 morts, selon les chiffres publiés ce mardi 17 août. Pour Frantz Duval, rédacteur en chef du plus grand quotidien de l’île, Le Nouvelliste, les véritables maux dont souffre le pays sont la corruption de ses élites et les erreurs de la communauté internationale.
Comparaison.En Espagne, le mouvement antivaccins ne décolle pas et regarde la France “avec envie”
Les rares manifestations contre les mesures sanitaires n’attirent que peu de monde en Espagne. Les raisons principales se résument en une confiance absolue des Espagnols envers la vaccination et des mouvements de protestation moins structurés qu’en France, analyse ce quotidien catalan.
Afghanistan : les talibans annoncent une "amnistie générale" pour tous les agents de l'Etat
Le mouvement taliban envoie plusieurs messages à la communauté internationale pour rassurer que le peuple afghan ne doit rien en craindre.
Ce matin, mardi, les talibans ont annoncé une "amnistie générale" pour tous les employés de l'Etat, les appelant à reprendre le travail deux jours après la prise du pouvoir en Afghanistan après un attentat éclair.
Le mouvement taliban envoie plusieurs messages à la communauté internationale pour rassurer que le peuple afghan ne doit rien en craindre.
Cependant, de nombreux Afghans craignent que le mouvement n'impose une règle stricte de la charia, comme il l'a fait lorsqu'il a dirigé le pays entre 1996 et 2001, les femmes étant notamment interdites de travailler ou d'étudier.
Le président américain Joe Biden a reconnu que la décision de se retirer venait de lui personnellement, déclarant : "Je soutiens directement la décision de se retirer d'Afghanistan".
source;https://www.i24news.tv/ar/
Les prix du pétrole chutent en raison des inquiétudes concernant les blessures de Corona
L'administration du président américain Joe Biden a exhorté le groupe la semaine dernière à augmenter la production de pétrole pour contrer la hausse des prix de l'essence
Les prix du pétrole ont chuté aujourd'hui, abandonnant les premiers gains, car les craintes d'un ralentissement de la demande de brut l'emportaient sur le solde des infections dans la souche Delta, contre les attentes selon lesquelles les principaux producteurs de pétrole n'augmenteraient pas bientôt leurs approvisionnements.
Le brut Brent a chuté de 0,7% à 69 dollars le baril, à 07h03 GMT, après avoir atteint 69,77 dollars plus tôt dans la session. Le brut américain West Texas Intermediate a perdu 0,8% à 66,77 $ le baril, après avoir atteint 67,66 $ plus tôt.
Le Japon devrait prolonger l'état d'urgence dans la capitale, Tokyo et d'autres régions jusqu'au 12 septembre 2021, et étendre les restrictions à sept autres régions, tandis que les autorités australiennes s'attendaient aujourd'hui à une augmentation significative du nombre de blessés à Sydney malgré la longue fermeture.
Les prix se sont redressés au début des échanges en Asie après que quatre sources ont déclaré que le groupe "OPEP +", qui comprend des pays membres de l'organisation "OPEP" et des alliés, dont la Russie, estime que les marchés pétroliers n'ont pas besoin de pomper plus de pétrole, contrairement à ce que ils prévoient de pomper dans les mois à venir.
L'administration du président américain Joe Biden a exhorté le groupe la semaine dernière à augmenter la production de pétrole pour contrer la hausse des prix de l'essence, qu'elle considère comme une menace pour la reprise de l'économie mondiale.
source:https://www.i24news.tv/ar/
Afghanistan: la Chine en position de force au Conseil de sécurité de l'ONU
Le Conseil de sécurité de l'ONU s’est réuni à New York, lundi 16 août, à propos de la situation en Afghanistan. Le secrétaire général, Antonio Guterres, a affirmé que les prochains jours seront cruciaux, qu’il ne fallait surtout pas abandonner les Afghans et que la communauté internationale devait rester unie sur ce dossier. Le Conseil a, bon an mal an, réussi à négocier une déclaration commune :
il a appelé à la cessation des hostilités et à l’établissement d’un gouvernement uni et inclusif.C’est un de ces Conseils de sécurité qui confirme le nouvel équilibre des forces géopolitiques modifié ces dernières années. On a d’abord entendu des États-Unis inquiets, réclamant l’évacuation sans heurts de ses diplomates et ressortissants. L’ambassadrice américaine a insisté pour la possible sortie du pays à tous les Afghans qui le souhaitaient.
Russie et Chine grands vainqueurs de la déroute américaine
En face, la Russie, si elle a admis avoir aussi été surprise par la rapidité du déploiement des talibans, s’est félicitée que tout se soit passé « sans bain de sang ». Puis, a confirmé conserver sa présence diplomatique en Afghanistan. Ensuite, c’est bien la déclaration de la Chine qui a étonné : « Nous respecterons la volonté et les choix du peuple afghan », a affirmé tout de go l’ambassadeur chinois, pour qui le renversement de Kaboul s’assimile quasiment à un processus démocratique.
On savait que la Chine cherchait à profiter du départ des États-Unis d’Afghanistan, sa position très claire à l’ONU montre qu’elle a gagné la partie. Moscou et Pékin ont aussi réclamé que le nouveau régime garantisse la sécurité, qu’il fasse tout pour endiguer le flot de réfugiés voulant fuir le pays dans les pays voisins. Elles lui ont aussi demandé de montrer une tolérance zéro contre les terroristes, qui pourraient être tentés d’essaimer en Asie centrale et de déstabiliser la région.
Cisjordanie occupée : le combat du village de Beita contre la confiscation de ses terres
Alors qu’à Jénine, en Cisjordanie occupée, ce lundi 16 août, 4 jeunes Palestiniens ont été tués par des tirs de l’armée israélienne, un autre village palestinien voit des affrontements continus et une violence permanente : Beita. C’est un village près de Naplouse, où les habitants se battent depuis plus de quatre mois contre la confiscation de leurs terres.
lundi 16 août 2021
Séisme en Haïti : pourquoi tant de tremblements de terre se produisent-ils dans ce pays?
Cette note est initialement publiée en janvier 2010 et mise à jour suite au tremblement de terre du 14 août 2021.
Les talibans de retour au pouvoir en Afghanistan: l'assourdissant silence de Joe Biden
Muet ces dernières heures, le président des États-Unis est la cible de toutes les critiques alors que les talibans viennent de reprendre le pouvoir après la conquête de Kaboul.
Deux hommes armés tués par les soldats américains à l'aéroport de Kaboul
On ignore donc pour l'heure si les deux personnes tuées faisaient partie des combattants se revendiquant des talibans.
Les soldats américains ont tué deux hommes armés ce lundi à l'aéroport de Kaboul, où des milliers d'Afghans tentent de quitter le pays après la prise de pouvoir des talibans en Afghanistan, selon un responsable du Pentagone.
Les pénuries de carburant placent les hôpitaux libanais dans un "état critique"
Avec des pénuries de carburant et de médicaments, les hôpitaux libanais ont du mal à soigner les blessés graves de l'explosion d'un pétrolier au Akkar.
Kaboul au lendemain de la prise de pouvoir des talibans
Des combattants talibans patrouillent dans les rues de Kaboul un jour après avoir pris le contrôle du pays après le départ du président Ashraf Ghani.
Face au variant Delta, les hôpitaux de Louisiane à bout de souffle
En vie mais à peine. Dans le service de soins intensifs de l'hôpital North Oaks, à Hammond en Louisiane, derrière les respirateurs artificiels, les visages des patients sont gris et émaciés, mangés par le Covid-19.
Comme partout ailleurs dans cet Etat, l'établissement est submergé par les victimes de la pandémie. Sur ses 330 lits, 81 sont occupés par des patients atteints du nouveau coronavirus, dont la moitié dans un état critique.
Le Sud américain, prompt à lever ses restrictions sanitaires au printemps, encaisse désormais le variant Delta de plein fouet. La Louisiane est de loin la plus durement touchée, avec plus de 5.800 cas quotidiens en moyenne, soit 50% de plus que lors du pic de mi-janvier, la vague la plus destructrice jusqu'alors.
"On reçoit non seulement plus de patients lors de cette vague mais leur état est en outre plus critique", confie le Dr Justin Fowlkes, spécialiste des maladies respiratoires. "Et malheureusement, on voit aussi plus de patients mourir."
L'hôpital North Oaks de Hammond, en Louisiane, le 13 août 2021
L'hôpital North Oaks de Hammond, en Louisiane, le 13 août 2021 Emily Kask AFP
Dans cette unité spécialisée dans les pathologies lourdes, un des 18 lits vient de se libérer. Pas pour longtemps, on le prépare déjà à accueillir un nouveau malade, qui sera immédiatement placé sous respirateur.
Les 17 patients actuels sont sous sédatif et la plupart sont même plongés dans un coma artificiel. "Nous ne voulons pas que leur corps fasse le moindre effort, nous voulons que le respirateur fasse tout à leur place", explique Charles Abrams, coordinateur du service.
Une discrète croix chrétienne se balance au cou de cet homme de 53 ans, au crâne rasé et la voix douce. Il couve les infirmières d'un regard inquiet. "Je me fais du souci pour elles", commence-t-il, avant de s'interrompre. Derrière son masque chirurgical, ses yeux brillent soudainement et son visage rougit. Après de longues secondes, il reprend, la gorge nouée: "Mais étant donné la situation, je trouve qu'elles tiennent bien le coup."
"C'est presque dur d'être à la maison parfois, avec nos familles", confie Stefanie Gras, infirmière de ce service. "Parce qu'ils n'ont aucune idée de ce qu'on doit gérer (à l'hôpital). Et ce n'est pas facile de leur décrire."
Le service de soins intensifs de l'hôpital North Oaks de Hammond, en Louisiane, le 13 août 2021
Le service de soins intensifs de l'hôpital North Oaks de Hammond, en Louisiane, le 13 août 2021 Emily Kask AFP
L'hôpital a proposé un soutien psychologique à ses soignants, mais peu ont choisi d'y recourir. Pour Charles Abrams, les infirmières ne réalisent pas le traumatisme dont elles ont souffert depuis le début de la pandémie. Lui a remarqué "les changements d'attitude, d'expressions du visage".
- Renforts -
Pour tenter d'endiguer la vague Delta et soulager le personnel hospitalier, la Louisiane a rétabli l'obligation de porter un masque en intérieur et a dû demander l'aide des autorités fédérales. Quelque 150 infirmières et médecins y ont donc été dépêchés en renfort par le ministère de la Santé, dont 15 à North Oaks.
La vaccination, malgré une légère accélération récente, reste très en-deçà du niveau national. Seuls 38,3% des habitants de la Louisiane sont pleinement vaccinés, contre plus de la moitié (51,2%) à l'échelle des Etats-Unis. Ici, à Hammond, 72 des 81 patients atteints du Covid-19 n'étaient pas vaccinés.
Certains expriment des regrets, raconte le Dr Fowlkes, et tentent de convaincre leurs proches d'aller chercher leurs doses. Mais d'autres, d'un nombre à peu près équivalent, s'obstinent.
Des soignants du service de soins intensifs de l'hôpital North Oaks à Hammond, en Louisiane, le 13 août 2021
Des soignants du service de soins intensifs de l'hôpital North Oaks à Hammond, en Louisiane, le 13 août 2021 Emily Kask AFP
L'un d'eux, "très malade et dont l'état se détériorait", a ainsi expliqué au médecin que "si c'était à refaire, même en sachant qu'il se retrouverait infecté et à l'hôpital, il ne se ferait quand même pas vacciner".
Des bips étouffés continuent de retentir à travers le service. Dans la dernière chambre, une paire d'yeux fixe à travers la vitre les soignants qui surveillent les malades. Les prunelles sont éteintes: cette jeune femme de 28 ans ne peut voir le bouquet apporté par ses proches et que les infirmières ont bien voulu déposer sur le chariot médicalisé juste devant la porte. Près des fleurs, un petit ballon de baudruche affiche: "Bon rétablissement!"
"Nous espérons qu'elle ira mieux, mais nous n'en savons rien", soupire Charles Abrams.
Deux semaines plus tôt, une dizaine de patients sont morts en l'espace de trois jours. En 31 ans de carrière, "ça n'était jamais arrivé", dit-il. "Et j'espère que ça n'arrivera plus jamais."
En images : retour sur vingt ans de guerre en Afghanistan
Les Taliban, chassés du pouvoir fin 2001 par une coalition internationale menée par les États-Unis, redeviennent les maîtres de l'Afghanistan presque vingt ans plus tard, au terme d'une offensive fulgurante.
Vidéo.Chaos et panique à l’aéroport de Kaboul, au moins trois morts
Des milliers d’Afghans désespérés fuyant les talibans ont convergé vers l’aéroport international de Kaboul lundi 16 août, espérant être évacués.
Vu du monde arabe.La chute de Kaboul, un “coup de fouet” donné aux islamistes radicaux
Les médias arabes sont largement d’accord pour considérer que la victoire des talibans risque de provoquer un regain de l’islamisme radical. Beaucoup s’en inquiètent, certains s’en félicitent.
Six jeunes Saoudiens devant être jugés pour harcèlement d'un touriste étranger
RIYAD — Six jeunes Saoudiens seront jugés pour leur implication présumée dans le harcèlement d'une touriste étrangère, selon une source officielle du ministère public.
La source a déclaré que les jeunes accusés avaient avoué leurs crimes et qu'ils pourraient encourir jusqu'à 10 ans de prison s'ils étaient reconnus coupables dans l'affaire. Le département concerné du ministère public a mené une enquête sur les crimes commis contre les citoyens détenus, qui sont dans la vingtaine et attendent leur procès.
La source a déclaré que les suspects se sont rassemblés autour du véhicule d'un touriste étranger dans un quartier de Riyad et l'ont harcelée avec des mots et des gestes indésirables, tandis que l'un d'eux a percuté son véhicule et s'est enfui des lieux.
La source a expliqué que les accusés ont été soumis à des procédures d'enquête strictes, après avoir été informés de leurs droits garantis par la loi, et qu'ils ont été détenus dans l'attente de leur procès.
Ces fautes sont considérées comme des crimes graves qui seront punis conformément à une décision rendue par le procureur général il y a un an.
La source a déclaré que les accusations portées contre les coupables en vertu de l'article (6/2 d) de la loi anti-harcèlement incluent le fait de heurter délibérément un véhicule avec un véhicule sans plaques d'immatriculation et de s'enfuir de la scène, et de se rassembler pour violer la moralité publique.
La source a souligné que tout harcèlement envers les touristes sera sévèrement puni.
L'Arabie saoudite a commencé à résilier les contrats des Yéménites vivant dans le pays qui travaillent dans des universités et des institutions publiques et privées
Un responsable yéménite a déclaré jeudi que l'Arabie saoudite avait résilié les contrats de travail de tous les expatriés de son pays dans le sud du Royaume.
Cela est venu dans un tweet via "Twitter" de Mukhtar Al-Rahbi, conseiller du ministère yéménite de l'Information.
Al-Rahbi a déclaré: "Les autorités officielles yéménites devraient se déplacer avec les frères en Arabie saoudite pour découvrir les motifs de l'approbation de la résiliation des contrats pour tous les Yéménites dans les régions du sud du Royaume et pour trouver des solutions urgentes des deux côtés."
Il a ajouté : "Cette décision représente un véritable désastre pour les Yéménites chez eux et pour les expatriés en Arabie saoudite".
Il n'y a eu aucun commentaire immédiat des autorités saoudiennes à ce sujet, mais le Royaume avait précédemment confirmé sa volonté de soutenir les Yéménites dans tous les domaines.
Mardi, le ministre yéménite des Affaires étrangères Ahmed Awad bin Moubarak a appelé, lors de sa rencontre à Riyad, avec son homologue saoudien, Faisal bin Farhan, à "travailler pour résoudre les problèmes des expatriés yéménites en Arabie saoudite".
Selon les médias yéménites, l'Arabie saoudite a récemment lancé une campagne pour résilier les contrats de nombreux expatriés yéménites travaillant dans des universités et des institutions gouvernementales et privées du sud du Royaume, dont 106 professeurs à l'Université de Najran.
Il y a quelques jours, des militants yéménites ont lancé une campagne sur les réseaux sociaux, appelant les autorités saoudiennes à ne pas se passer des travailleurs yéménites en raison des conditions difficiles que traverse leur pays.
Le Yémen est témoin depuis près de 7 ans d'une guerre continue entre les forces pro-gouvernementales soutenues par une coalition militaire arabe dirigée par l'Arabie saoudite voisine, et les Houthis soutenus par l'Iran, qui contrôlent des gouvernorats dont la capitale, Sanaa, depuis septembre 2014.
source:https://www.aa.com.tr/ar
Plainte du fils de la reine Elizabeth prince Andrew
Plainte du fils de la reine Elizabeth
Virginia Roberts Joffre a poursuivi les femmes du réseau de prostitution américain de Jeffrey #Epstein contre le prince Andrew, le fils de la reine britannique, qui est accusé d'avoir violé des mineures.
Virginia Roberts Joffre a officiellement poursuivi le fils de la reine Elizabeth pour avoir eu des relations sexuelles en 2001 alors qu'elle avait moins de 18 ans devant un tribunal de New York.
Il a déclaré que le prince britannique avait violé à plusieurs reprises Jeffrey Epstein dans le bâtiment ainsi que dans d'autres bâtiments.
"Si mon client ne se plaint pas maintenant, le prince Andrew ne sera pas tenu responsable de ses actes", a déclaré à ABC News l'avocat de Joffre, David Boys.
Il a ajouté qu'il y a 20 ans, la richesse, le pouvoir, la position et les relations du prince Andrew ont empêché Virginia, enfant, d'obtenir le soutien dont elle avait besoin contre le harcèlement sexuel.
Le prince Andrew, le fils bien-aimé de la reine Elizabeth II, s'est déjà lié d'amitié avec des personnes notoirement riches impliquées dans le commerce de la prostitution.
Kunduz est tombé; Avancée des talibans dans le nord et le nord-est de l'Afghanistan
Kunduz est tombé; Avancée des talibans dans le nord et le nord-est de l'Afghanistan.
La bataille pour le contrôle de Kunduz entre les forces talibanes et les soldats afghans s'est poursuivie pendant plusieurs jours. Maintenant, la nouvelle de la chute de cette ville continue. La capture de Kunduz après la capture de Zaranj et Sheberghan augmente la domination des talibans dans le nord et le nord-est de l'Afghanistan.
Malgré le bombardement des zones tenues par les talibans par des avions de chasse américains, les forces talibanes ont réussi à s'emparer des villes de Kunduz et Sar-e-Pul.
L'AFP a rapporté dimanche 8 août que la ville de Kunduz était tombée. "Kunduz est tombé", a écrit le journaliste à propos de la situation dans la ville. « Les talibans ont saisi tous les bâtiments gouvernementaux importants.
Auparavant, les forces talibanes avaient revendiqué le contrôle de Kunduz en publiant plusieurs messages sur Twitter. Des affrontements violents ont été signalés entre les forces talibanes et les unités de l'armée afghane dans le centre-ville. La chute de Kunduz est très importante dans la guerre civile en Afghanistan.
A noter que les deux villes de Zaranj, la capitale de la province de Nimroz, et Sheberghan, la capitale de la province de Jawzjan, avaient été capturées par les talibans ces derniers jours.
Les combats à Kunduz se seraient poursuivis de rue en rue. Les talibans avaient précédemment affirmé avoir capturé des parties importantes de la ville.
Dans une série de publications sur Twitter, les talibans ont affirmé avoir pris le contrôle du centre-ville de Kunduz et confisqué un grand nombre de véhicules militaires et civils, ainsi que des munitions et d'autres armes.
Prise de Sheberghan
La ville septentrionale de Sheberghan, capitale de la province de Jawzjan, a été capturée par les talibans samedi 7 août. Cette ville est la résidence d'Abdul Rashid Dostum, le chef de guerre de la province de Jawzjan.
Le gouvernement central afghan aurait appelé Dostum à affronter les talibans. Les forces devraient lancer des opérations contre les talibans dans les prochains jours.
Détails de la torture dans les prisons saoudiennes (court texte éducatif)
De nouveaux détails sur des allégations de torture d'éminents militants politiques détenus dans les prisons saoudiennes sont apparus, confirmant les abus et les mauvais traitements généralisés qui ont été signalés par des groupes de défense des droits et des agences de presse au cours des dernières années alors que le royaume - sous le prince héritier Mohammed Bin Salman - a adopté une lourde approche manuelle envers les critiques et les dissidents.
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Le dernier rapport a été obtenu par Human Rights Watch à partir d'une série de SMS anonymes envoyés en janvier 2021 d'un individu s'identifiant comme un gardien de prison saoudien qui décrit les tortures et les mauvais traitements qu'ils et d'autres gardiens de prison ont vus commettre des interrogateurs saoudiens. détenus de premier plan entre le milieu et la fin de 2018. La personne a refusé de révéler son nom par crainte de représailles, mais a décrit dans des SMS ce qu'elle avait vu et transmis des SMS d'autres gardiens de prison.
"Lors d'une de ses séances de torture, [nom non divulgué] a perdu connaissance et nous étions tous terrifiés", a-t-il déclaré, sous couvert d'anonymat. « Nous craignions qu'elle soit morte et que nous en porterions la responsabilité car les instructions étaient de ne tuer aucun des détenus, hommes ou femmes. »
Selon Human Rights Watch, les autorités saoudiennes n'ont pas mené d'enquête indépendante et crédible sur les allégations selon lesquelles les autorités saoudiennes auraient torturé des militantes des droits des femmes saoudiennes et d'autres personnes détenues au début de 2018, notamment à l'aide de décharges électriques, de coups, de coups de fouet et de harcèlement sexuel.
« Laisser les agresseurs se tirer d'affaire envoie le message qu'ils peuvent torturer en toute impunité et ne doivent jamais être tenus responsables de tels crimes ». A déclaré Michael Page, directeur adjoint du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord à Human Rights Watch. "La puanteur de la torture et d'autres traitements horribles infligés aux détenus saoudiens s'attacheront aux dirigeants saoudiens à moins qu'ils ne prennent des mesures urgentes pour mettre fin à ces crimes et obliger les agresseurs à rendre des comptes, même aux plus hauts niveaux", a déclaré Page.
Ces allégations de torture confirment ce que de nombreuses agences médiatiques et groupes de défense des droits ont rapporté ces dernières années sur la base des récits de membres de la famille et de personnes familières avec la condition des détenus.
Les organisations de défense des droits humains ont commencé à signaler en novembre 2018 des accusations selon lesquelles des interrogateurs saoudiens auraient torturé au moins quatre militantes, notamment avec des décharges électriques et des coups de fouet, et les auraient harcelées et agressées sexuellement. En janvier 2019, Human Rights Watch et Amnesty International ont déclaré que les autorités saoudiennes devraient autoriser les observateurs internationaux à entrer dans le pays et enquêter sur les allégations de torture.
Une autre source informée distincte avait précédemment déclaré à Human Rights Watch que les autorités pénitentiaires avaient torturé al-Rabea pendant des mois, notamment à l'aide de décharges électriques, de noyades et de coups. Ils l'ont détenu dans de petits espaces sans sommeil ni repos pendant des jours entiers, l'ont suspendu la tête en bas et l'ont souvent privé de repas au cours de sa première année de détention, a indiqué la source.
Dans un message transmis, un gardien de prison a décrit les souffrances d'un autre militant des droits humains détenu en 2018. « Ils n'ont pas eu pitié de [nom non divulgué]… est mort jusqu'à ce que le médecin vienne et l'aide avec des analgésiques et d'autres médicaments pour le ranimer. Ensuite, ils le tortureraient à nouveau
Fin décembre, un tribunal saoudien a condamné Hathloul à une peine de prison de cinq ans et huit mois pour des crimes liés au terrorisme, mais la peine partiellement avec sursis a ouvert la voie à sa libération anticipée en février.
Plusieurs militants libérés et les membres de leur famille se voient interdire de quitter l'Arabie saoudite, une punition collective qui les rend vulnérables à ce que les militants appellent la coercition de l'État.
La répression contre les femmes militantes, qui a suscité une condamnation mondiale, a mis en lumière le bilan des droits humains du royaume, une monarchie absolue.
https://www.odvv.org/blog-3309-Details-of-Torture-Emerge-from-Saudi-Prisons
Cisjordanie: quatre Palestiniens tués par les forces israéliennes à Jénine
A Jénine, au nord de la Cisjordanie occupée, quatre jeunes Palestiniens ont été tués par des tirs israéliens. C’était ce lundi matin 16 août lors d’un raid des membres de « la police des frontières israélienne ». Une unité de l’armée ayant pour but d’arrêter des habitants qu’ils soupçonnent « d’implication dans des activités terroristes ».
Afghanistan: la conquête éclair des talibans ternit l'image des États-Unis
Au terme de vingt ans de présence en Afghanistan, la plus longue guerre menée par les États-Unis s'achève par une victoire spectaculaire des talibans qui ternit l'image de la première puissance mondiale.
mardi 3 août 2021
Résurgence.Wuhan, foyer de l’épidémie de Covid, enregistre ses premiers cas depuis plus d’un an
Onze cas du variant Delta du Covid-19 ont été recensés par les autorités de Wuhan, en Chine. Point de départ de la pandémie fin 2019, la ville avait réussi à endiguer le flot des contaminations. Elle va désormais procéder au dépistage massif de sa population.
Une nouvelle génération d'orphelins alors que le COVID ravage l'Indonésie
Alors que le nombre de morts du COVID-19 en Indonésie augmente, trop de jeunes enfants apprennent le désespoir de perdre leurs parents.
PSG : une étoile sur le maillot en cas de dixième titre de champion de France
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