mardi 19 avril 2022

PSG : une étoile sur le maillot en cas de dixième titre de champion de France

 PSG : une étoile sur le maillot en cas de dixième titre de champion de France




Le PSG devrait bien arborer une étoile sur son maillot la saison prochaine, en cas de dixième titre de champion de France. Mais elle devrait figurer sur la manche, dans le badge de la Ligue de football professionnel.

Le PSG y est presque. Grâce à son succès étriqué obtenu lors du choc face à l’Olympique de Marseille (2-1), dimanche, le club de la capitale s’est rapproché d’un nouveau titre de champion de France. Fort de ses 15 points d’avance à six journées de la fin, les Parisiens pourraient même être sacrés dès mercredi en cas de victoire à Angers et de contre-performance de l’OM face à Nantes.

Ce nouveau titre permettrait au PSG d’entrer un peu plus dans les annales du championnat de France. Car avec 10 titres de champion, les Rouge et Bleu deviendront le club le plus titré de l’histoire, à égalité avec Saint-Etienne. Dix titres que les Verts rappellent sur leur maillot avec une étoile présente au-dessus de leur logo, à l’instar de ce que fait l’Olympique de Marseille pour son sacre en Ligue des champions.

Se posait dès lors la question de savoir si le club de la capitale allait à son tour ajouter une étoile à son logo. La réponse est non. Pour autant à en croire L’Equipe, une étoile figurera bien sur le nouveau maillot parisien en cas de dixième titre. Non pas au niveau du logo du club, mais intégrée dans le logo de la Ligue présent sur la manche droite.

Tandis qu’en Angleterre et en Espagne, il n’y a presque jamais d’étoiles sur les blasons des clubs, en Allemagne, la règle prévoit une étoile pour trois titres de champion, deux pour cinq titres à deux, trois pour 10 titres, quatre pour 20 titres et cinq pour 30 titres. En Italie, la règle, lancée par la Juventus au moment de son 10e titre en 1958, offre une étoile pour dix titres.

NBA (play-offs) : Philadelphie et Golden State font le break, Dallas recolle contre Utah

 NBA (play-offs) : Philadelphie et Golden State font le break, Dallas recolle contre Utah




De nouveau vainqueurs sur leur parquet dans le match 2 de Toronto et Denver, Philadelphie et Golden State ont fait le break dans la série, ce lundi lors des play-offs de NBA. Dallas et Utah sont à égalité en revanche après le succès des Mavericks au Texas face au Jazz de Rudy Gobert.



Golden State et ses « splash brothers » ont fait pleuvoir la grêle sur Denver, pour mener 2-0 dans leur série du 1er tour des play-offs NBA, tout comme Philadelphie face à Toronto, Dallas ayant égalisé contre Utah grâce à 41 points de Jalen Brunson. Il est déjà difficile de s’en sortir face aux Warriors quand Stephen Curry prend feu. Mais si Klay Thompson s’y met aussi et si Jordan Poole s’amuse à imiter ses aînés, cela devient impossible. Les Nuggets en ont fait l’amère expérience (126-106) et le MVP en titre Nikola Jokic (26 pts, 11 rbds), qui doit se sentir très seul, a été impuissant. Car le « little Big 3 » de Golden State a encore sévi.



Une nouvelle fois remplaçant, pour son deuxième match après un mois d’absence (cheville), Curry n’en est sorti que plus fort et rasséréné (34 pts, à 12/17), Klay Thompson a planté huit points d’affilée (21 au total) qui ont lancé le « chaud show-time » du 3e quart-temps (44-30), avant qu’une » Poole party » (29 pts à 10/15, 8 passes) ne se déchaine dans un Chase Center en fusion.



Pendant ce temps, sur le banc de Denver, l’incorrigible Demarcus Cousins ne trouvait rien de mieux que se frictionner avec Will Barton et, très frustré, après ce qu’il considérait comme une faute non sifflée de Draymond Green, Jokic était exclu pour six fautes. Une réaction impérative de leur part est attendue jeudi dans le Colorado, sinon les vacances vont vite arriver.


Pare-choc Embiid

À l’Est, Philly enchaîné une deuxième victoire autoritaire contre Toronto (112-97). Après la correction infligée samedi (131-111), les Sixers s’attendaient à ce que les Raptors, champions 2019, sortirent leurs griffes. Ce fut le cas et Embiid a été ciblé. Mais cela n’a rien changé à l’affaire, car le pivot camerounais est resté dominant dans la raquette (31 pts à 9/16, 11 rbds),


« Ils m’ont envoyé sur le parquet à quelques reprises, mais c’est là que ça m’intéresse : je reste cool et dans ces cas-là je reviens avec plus de puissance et il va falloir faire des fautes pour me stopper », a commenté l’intéressé.

lundi 18 avril 2022

L'Univers insolite : et si le ciel nous tombait sur la tête ? - Sciences et Avenir

 L'Univers insolite : et si le ciel nous tombait sur la tête ? - Sciences et Avenir



Comment l'humanité - et surtout les scientifiques - se préparent à contrer les dangereux bolides qui pourraient percuter la Terre.


Cet article est issu du magazine Les Indispensables de Sciences et Avenir n°209 daté avril/ juin 2022.


L'humanité se prépare à contrer de dangereux bolides. "Nous cataloguons les "géocroiseurs", ces objets dont l'orbite croise celle de la Terre, explique Patrick Michel, chercheur à l'observatoire de la Côte d'Azur.


"On en a trouvé 10.000, 40 % de ceux qui existent"

"Nous en avons déjà repéré un petit millier dont la taille dépasse le kilomètre, pouvant presque tous causer un désastre planétaire. Et nous traquons ceux de plus de 140 mètres, qui pourraient anéantir un pays. On en a trouvé 10.000, 40 % de ceux qui existent", ajoute Patrick Michel. Pour l'instant, aucune collision en vue.


"Percuter le bolide pour dévier sa trajectoire"

Et l'on teste des parades. "La technique la plus mûre consiste à percuter le bolide pour dévier sa trajectoire", poursuit Patrick Michel, également responsable de la mission Hera de l'ESA, qui va contribuer au premier test de déviation d'un astéroïde, avec la Nasa. Celle-ci a lancé en 2021 la mission Dart vers un duo d'astéroïdes inoffensifs, Didymos (780 m de diamètre) et Dimorphos (160 m), qui orbite autour de lui. Fin septembre, la sonde doit percuter Dimorphos. Quatre ans plus tard, Hera viendra mesurer la nouvelle orbite et cartographier le cratère d'impact. "Une étape cruciale, car l'efficacité de l'impact dépend de la structure et des propriétés mécaniques du corps visé", indique Patrick Michel.


Sciences et Avenir



“Affaires sensibles” « Caravelle Ajaccio Nice : un crash secret défense ? » lundi 18 avril sur France 2

 “Affaires sensibles” « Caravelle Ajaccio Nice : un crash secret défense ? » lundi 18 avril sur France 2






Incendie à bord ou collision avec un missile ? Retour sur le crash de la caravelle Air France Ajaccio / Nice, qui s'est abîmée en mer le 11 septembre 1968.


C’est sans doute l’un des accidents d’avion les plus mystérieux qu’ait connus la France. Le 11 septembre 1968, la Caravelle Air France qui relie Ajaccio à Nice s’abîme en mer avec, à son bord, 89 passagers et 6 membres d’équipage. Très vite, l’enquête fait état d’un feu qui se serait déclenché à bord, peut-être dans les toilettes.


Le rapport de la commission d’enquête mentionne une autre hypothèse : la collision avec un missile. Jugé peu plausible par les experts, ce scénario est aujourd’hui défendu par les familles des victimes.


Un missile à l'origine du crash ?

La vérité n’a pas pu être établie dans les mois qui ont suivi la catastrophe, mais bien des années plus tard, de nouveaux témoignages vont relancer l’enquête. En 2011, un homme affirme à des reporters avoir dactylographié un rapport de la Marine nationale stipulant qu’un missile serait à l’origine du crash.


Dans le documentaire d’Alexandra Colineau, pour la première fois, un ancien marin de la frégate lance-missiles Suffren soutient que le navire était en exercice en Méditerranée le jour de l’accident d’avion et qu’il y a eu un tir. Enfin, la page arrachée du journal de bord de la frégate et les conclusions d’un rapport d’expertise tronquées ne vont pas contribuer à apaiser les soupçons.


Aujourd’hui, Emmanuel Macron a promis aux familles des victimes de leur donner accès à toutes les archives, y compris celles classées secret Défense. Alexandra Colineau a pu les consulter. Cinquante-quatre ans après les faits, une instruction est en toujours cours à Nice. Pour connaître enfin la vérité ?


Un documentaire réalisé par Alexandra Colineau, images de Frédéric Capron, montage de Thomas Lhoste, production FTV Presse.


Les invités en plateau : Jean-Paul Troadec, ancien directeur du Bureau d'enquêtes et d'analyses pour la sécurité de l'aviation civile (BEA), et Guerric Poncet, journaliste au "Point".


"Affaires sensibles", une coproduction France Télévisions, France Inter et l’INA, adaptée d’une émission de France Inter.


> Les replays des magazines d'info de France Télévisions sont disponibles sur le site de Franceinfo et son application mobile (iOS & Android), rubrique "Magazines".

Franceinfo












Covid-19 : les Etats-Unis annoncent l'organisation d'un sommet mondial le 12 mai pour "mettre fin à la phase aiguë" de la pandémie

 Covid-19 : les Etats-Unis annoncent l'organisation d'un sommet mondial le 12 mai pour "mettre fin à la phase aiguë" de la pandémie




Cette rencontre se fera à distance et sera co-présidée par les Etats-Unis, l'Allemagne, l'Indonésie, le Sénégal et le Belize.

Pour se préparer aux menaces futures liées à la santé et pour mettre un terme à l'épidémie de Covid-19, un sommet mondial aura lieu le 12 mai, ont annoncé les Etats-Unis, lundi 18 avril. Cette rencontre, qui aura lieu en virtuel, sera co-présidée par les Etats-Unis, l'Allemagne, actuellement à la tête du G7, l'Indonésie, à la tête du G20, le Sénégal, à la tête de l'Union africaine et le Belize, à la tête de la Caricom (pays des Caraïbes). "Le sommet va redoubler nos efforts collectifs pour mettre fin à la phase aigüe de l'épidémie de Covid-19 et nous préparer à de futures menaces liées à la santé", ont indiqué ces pays dans un communiqué commun publié par Washington.


Ce sera le second sommet mondial sur la pandémie de coronavirus, qui a tué plus de six millions de personnes dans le monde et bouleversé l'économie mondiale, depuis qu'elle a commencé à se propager en décembre 2019. Le président américain Joe Biden avait organisé un sommet similaire le 22 septembre 2021 au cours duquel il avait plaidé pour un renforcement de la vaccination dans le monde. Et aujourd'hui, bien que le taux de mortalité dû au Covid a nettement diminué dans le monde, la propagation du virus, particulièrement son variant Omicron, empêche plusieurs pays de lever les restrictions, à commencer par la Chine où des millions de personnes sont toujours confinées.

Le gouvernement américain, et ceux des pays impliqués dans ce sommet, veulent également maintenir le sentiment d'urgence face à l'épidémie. "Avant le sommet du 12 mai nous appelons les dirigeants de la planète, les membres de la société civile, les organisations non gouvernementales et le secteur privé à prendre de nouveaux engagements et à apporter des solutions pour vacciner la population mondiale, sauver des vies maintenant et construire une meilleure sécurité sanitaire partout dans le monde", ajoute ce communiqué commun. "L'émergence et la propagation de nouveau variants, comme Omicron, ont renforcé la nécessité d'une stratégie destinée à contrôler le Covid-19", a-t-il ajouté.

Et bien que le variant Omicron soit moins dangereux, bien que plus contagieux, les pays à l'origine de ce sommet estiment qu'il est indispensable de tout faire pour empêcher que de nouvelles catastrophes sanitaires prennent le monde par surprise. "Nous savons que nous devons nous préparer maintenant à construire, stabiliser et financer la capacité globale dont nous avons besoin, non seulement face aux variants du Covid-19, mais aussi face à d'autres crises sanitaires", avertissent-ils. La maladie de Covid-19 est loin d'être endémique et peut encore provoquer "de grandes épidémies", avaient indiqué jeudi des responsables de l'Organisation mondiale de la santé. "Nous sommes toujours au milieu de cette pandémie, nous aimerions tous que ce ne soit pas le cas, mais nous ne sommes pas à un stade endémique", avait déclaré la responsable de la lutte contre le Covid pour l'OMS, Maria Van Kerkhov

Capital




La croissance chinoise résiste au premier trimestre

 La croissance chinoise résiste au premier trimestre




Un haut responsable économique a reconnu que le pays faisait face à des «défis importants» pour l’économie au moment où le confinement de Shanghaï pénalise lourdement l’activité



La Chine a annoncé ce lundi un rebond de sa croissance au premier trimestre, de +4,8% sur un an, malgré des «défis importants» pour l'économie au moment où le confinement de Shanghaï pénalise lourdement l'activité. Bien que sujet à caution, le chiffre officiel du PIB de la Chine est toujours scruté de près compte tenu du poids du pays dans l'économie mondiale.


Cette hausse était largement anticipée. Un groupe d'analystes sondés par l'AFP tablait sur un rebond toutefois plus modéré (4,3%). Au quatrième trimestre 2021, le produit intérieur brut (PIB) du pays avait progressé de 4% sur un an.


L'économie chinoise fait face «à des défis importants», a reconnu un haut responsable économique lors d'une conférence de presse. D'un trimestre à l'autre, la croissance du géant asiatique est en hausse de 1,3%, un rythme inférieur à celui de la période octobre-décembre (1,6%).


La Chine, qui avait depuis deux ans largement maîtrisé le Covid-19, fait face depuis le mois dernier à sa pire flambée épidémique. Plusieurs dizaines de millions de Chinois ont été confinés en mars dans la métropole technologique de Shenzhen (sud), et le sont toujours dans le nord-est du pays, berceau de l'industrie automobile, ainsi qu'à Shanghaï, la capitale économique du pays. À rebours de bon nombre de pays qui optent pour une cohabitation avec le virus et lèvent les restrictions, la Chine continue à suivre une politique zéro Covid.


Consommation dans le rouge

Ces mesures nuisent gravement aux transports et aux chaînes d'approvisionnement et ont entraîné la mise à l'arrêt de très nombreuses entreprises. Ces difficultés sont venues s'ajouter à celles qui pesaient déjà ces derniers mois sur l'économie chinoise: consommation atone, durcissement réglementaire dans plusieurs secteurs comme l'immobilier et la technologie, et incertitudes liées à l'Ukraine.


En mars, les ventes de détail, principal indicateur des dépenses des ménages, ont reculé de 3,5% sur un an, soit leur plus forte baisse depuis avril 2020, lorsque le géant asiatique commençait à peine à sortir de la première vague de l'épidémie. Les confinements en mars ont «durement frappé» les dépenses de consommation, en particulier dans les commerces et restaurants, souligne pour l'AFP l'analyste Rajiv Biswas, du cabinet IHS Markit (S&P Global).


Les conséquences du confinement à Shanghai en avril seront «importantes» sur la consommation, prévient Rajiv Biswas, arguant que ses habitants ont le revenu disponible le plus élevé de Chine.


De son côté, la production industrielle n'a augmenté que de 5% sur un an le mois dernier, contre 7,5% sur les deux premiers mois de l'année.


Le taux de chômage s'est accru à 5,8% en mars contre 5,5% en janvier et février. Particulièrement surveillé par le pouvoir et calculé pour les seuls urbains, le taux de chômage avait atteint un record absolu de 6,2% en février 2020, au plus fort de l'épidémie, avant de refluer.


Quant à l'investissement en capital fixe, sa croissance s'est tassée sur les trois premiers mois de l'année à 9,3% contre 12,2% à fin décembre, selon le BNS.


«Vents contraires»

Pékin s'est fixé comme objectif une hausse du PIB «d'environ 5,5%» cette année, ce qui serait pour la Chine son rythme de croissance le plus faible depuis le début des années 1990, hormis l'année 2020 marquée par la première vague du Covid. Au vu du contexte, cet objectif paraît aujourd'hui «inatteignable», estime dans une note l'économiste Larry Hu, du gestionnaire d'actifs australien Macquarie.



Le Figaro

Le PSG remporte un triste et décevant Classique face à l'OM

 Le PSG remporte un triste et décevant Classique face à l'OM




Paris s'est imposé face à Marseille (2-1) lors de la 32e journée du Championnat de France de Ligue 1. En conférence de presse d'après-match, le milieu de terrain Amine Harit livrait son analyse du match.


C’était un choc entre le premier et le deuxième de Ligue 1, le « Classique » du championnat de France. Et pourtant, les amoureux de football ont assisté, ce dimanche 17 avril, à match d’une immense pauvreté entre le PSG et l’OM.


Et à ce jeu de l’ennui, ce sont finalement les Parisiens qui s’en sont le mieux sortis (2-1).


Trois buts en première période

Ce 102e « Classique » a été à l'image du Parc des Princes : froid, terne et ennuyeux malgré les trois buts inscrits et la présence du trio Messi-Neymar-Mbappé côté PSG. Mais si le stade s’est tu pendant 90 minutes, c’est que les ultras parisiens l’ont décidé. Si cette affiche entre le leader et son dauphin n’a pas été à la hauteur de l'événement, c’est que les acteurs n’ont pas mis les ingrédients suffisants.


Et pourtant, ils se sont mutuellement aidés pour offrir un semblant de spectacle, avec deux premiers buts largement évitables. Le premier est l’œuvre de Neymar, prenant de vitesse Valentin Rongier sur une ouverture de Marco Verratti, avant de récupérer le ballon en extension pour devancer la sortie hasardeuse du gardien Pau Lopez (1-0, 12e).



Vingt minutes plus tard, au tour de son homologue parisien Donnarumma de se rater, sur corner, ce qui profite à Duje Caleta-Car (1-1, 31e).


Malgré son incapacité à mettre du rythme dans cette rencontre, le PSG a su se servir d’une nouvelle erreur marseillaise, la main dans la surface de Valentin Rongier, décidément pas en réussite : penalty transformé par Kylian Mbappé (2-1, 45e+5).

Un deuxième acte pour s'endormir

À la pause, c’est bien payé pour le PSG. On ne verra plus rien au retour des vestiaires, si ce n’est deux buts refusés pour hors-jeu : le premier de Kylian Mbappé, le second du défenseur marseillais William Saliba.

Fait marquant, au cours de cette triste seconde période, les Parisiens n’ont pas tenté la moindre frappe, face à des adversaires qui ne les ont jamais inquiétés.

Soirée à oublier pour tout le monde, même pour les vainqueurs malgré une troisième victoire de rang. Les Marseillais, eux, peuvent s’en vouloir de n’avoir rien proposé face à un PSG si pâle, qui file vers son dixième titre de champion de France.

RFI


PSG : une étoile sur le maillot en cas de dixième titre de champion de France

 PSG : une étoile sur le maillot en cas de dixième titre de champion de France Le PSG devrait bien arborer une étoile sur son maillot la sai...